Shaïsta Farouk

Questions fréquentes à votre ostéopathe

Les réponses de votre ostéopathe

Vous avez de nombreuses questions concernant l’ostéopathie ou le métier d’ostéopathe ?
Je réponds dans cette rubrique aux questions qui me sont le plus souvent posées dans le cadre de ma pratique.

Si vous ne trouvez pas votre question ci-dessous, n’hésitez pas à me laisser un message sur via le formulaire de la page Contact.

Non, l’ostéopathie est de première intention, il n’est donc pas nécessaire de passer par son médecin généraliste pour consulter un ostéopathe.

Non, il n’y a pas de contres indications particulières à une séance d’ostéopathie. Néanmoins lors de votre consultation pensez à bien donner tous vos antécédents médicaux et autres à votre praticien afin qu’il adapte ses techniques et sa prise en charge.

Le « craque » vulgarisation de la technique de manipulation HVBA (haute vélocité basse amplitude) suivi par un bruit articulaire (phénomène de cavitation) fait partie des techniques à la portée de votre ostéopathe. Cependant il ne s’agit pas des seules techniques possibles. Comme toujours, l’ostéopathe adapte ses techniques en fonction du motif de consultation et des besoins du patient.

La prise en charge en ostéopathie peut se faire dès les premiers jours de la vie si nécessaire.

La première partie de la séance consiste à faire une anamnèse ou interrogatoire concernant le patient, notamment ses antécédents médicaux ou encore ses activités au quotidien. Et le praticien va ensuite s’intéresser plus en détail au trouble pour lequel le patient est venu consulter.

La deuxième partie de la consultation va se passer sur la table de pratique. Le patient va se mettre en sous-vêtements (pas obligatoire vous pouvez porter des vêtements fins et souples), de façon à découvrir la zone à traiter.
S’en suit une série de tests diagnostiques et une palpation des tissus.

Le praticien va ensuite passer au traitement. Les techniques ostéopathiques sont variées. Il peut s’agir de manipulations (de haute vélocité et basse amplitude), de mobilisations, de techniques de musculaire, ou encore de techniques de détente ou stimulation viscérales. Le praticien va adapter sa pratique et ses techniques en fonction du patient ainsi que du trouble à traiter.

Une fois les mouvements du patient réévalués, on finit par la dernière partie et non des moindres : les conseils afin de prévenir la récidive des douleurs.